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OS:Ma déesse laisse moi être ton dieu

 OS:Ma déesse laisse moi être ton dieuOS:Ma déesse laisse moi être ton dieu
OS:Ma déesse laisse moi être ton dieu


 
 
Couple: AoixUruha
 
Disclamer: ils ne m'appartiennent pas
 
Note: voici  une OS Lié à mon ange je serais mon démon, je l'ai entierrement réecrite, je suis assez fière de mon boulot! donnez moi vos avis s'il vous plais :D
 
Ah oui... les ames sensible, sortez vos mouchoirs...
 
Merci à visual Khb pour sa correction!!
 
 
Ma déesse laisse moi être  ton dieu
 
 Ma déesse laisse-moi être ton dieu. Laisse-moi t'approcher et te toucher. Laisse-moi prendre soin de toi. Laisse-moi être l'unique à tes yeux, celui qui prendrais possession de ton c½ur, de ton âme et de ton corps. Laisse-moi t'aimer comme je l'entends, laisse-moi te combler de bonheur jusqu'à ta mort. Laisse-moi vivre à tes côtés et vivre une idylle tellement souhaité.
 
 
Laisse-moi simplement t'aimer...
 
 
Toi, dansant si sensuellement avec tous les beaux garçons à cette fête de fin d'année organisé par les maisons de disque des groupes de visu.
 
Toi, dans un somptueux smoking avec une chemise en soie ouverte sur ton corps et qui te va à merveille. Ce léger maquillage qui souligne ta beauté.
 
 
Je te voyais enchaîner les petits verres d'alcool parlant en même temps aux autres artistes. Moi dans mon coin à observer ce qui se passe, à jalouser par rapport à eux.
Je n'ai pas le courage de danser avec les autres car je ne veux être qu'à tes côtés.
Toi, mon dieu si efféminé... ou du moins ma déesse
 
Tu envahis mes pensées, tu restes encré en elles, si profondément si intensément que je ne peux point t'enlever. Tu es là, tel un marqueur indélébile, une marque faite au fer rouge qui ne s'enlèvera jamais. Je n'ai pas eu de suite le coup de foudre, mais, une fois que je me suis rendu compte de mes sentiments, je n'ai jamais pu t'effacer. Une fois mes yeux fermés, je te voyais, là devant moi, un doux sourire sur le visage.
 
 
Je te vois me regarder, puis tu t'approches, tu me prends la main et tu m'emmène au milieu de cette foule qui danse. Un doux sourire est là, sur ton si joli visage, sur tes douces et belles lèvres pulpeuses.
 
 
 
« Aller !! Reste pas tout seul dans ton coin, viens danser !! »
 
 
Tu danses tout contre moi si sensuellement, si gracieusement. Mon corps tout entier réagit au contact de ton corps contre le mien. Mon entre-jambe me chauffe, en même temps, tu es si attirant...
Je me mets ensuite à danser tout en te saisissant par les hanches et te regarde attractivement.
Discrètement, je te dépose un léger baiser dans le cou. Un petit gémissement très discret se fait entendre. Et nous nous cherchons, comme deux adolescents de 17 ans. Discrètement, des caresses, par ci, par là. Des lèvres qui se frôlent, des caresses si bandantes...
Je souris d'une manière assez perverse. Et toi tu devines bien mes intentions, à mon avis tu dois avoir les mêmes. Tu me prends par la main et tu m'emmène à l'étage. Nous parcourons le long couloir et tu pousses une porte dans laquelle tu me fais entrer. Tu me suis et tu fermes la porte derrière moi.
 
Tu t'approches très sensuellement de moi en te léchant les lèvres, ce que tu es excitant... et tu me pousses tout en douceur sur le lit.
Tu te mets à califourchon sur moi et tu approches doucement ton visage du mien.
 
Ton corps si fin sur moi me fait tellement d'effet... une assez belle bosse s'est formé dans mon pantalon et ç'en est de même pour toi. Ton regard est ancré dans le mien. Je suis comme envouté par tes deux prunelles si belles. On se regarde intensément. Sans vouloir se séparer...
Non, je ne peux plus résister j'ai trop longtemps lutté. Je prends ton visage entre mes mains et je celle nos lèvres entre elles. Elles sont douces sucrées parfumés, elles sont tellement pulpeuses tellement bonnes, en plus, elles sentent la barbe à papa, qu'est-ce que j'aime ce contact... je me sens comme soulevé de terre et transporter dans un monde où il n'existe que nous deux, je suis coupé de la réalité entouré d'émotions, de chaleurs, d'amour et de tendresse.
L'échange de sentiments quand notre langue commence une danse, danse de l'amour, danse de sentiments. Ce contact m'électrise, j'ai de la peine à y croire, ce moment tellement rêver est enfin là... il est même mieux que dans mes rêves...
 
Je déboutonne un à un les derniers boutons de ta chemise et passe mes mains dans ton dos.
Je te le caresse en te déclenchant de petits frissons. Tu te colles encore plus à moi. Ta chaleur contre mon corps est si rassurante.
 
Je t'admire, toi, tu es si magnifique... le rouge aux joues causé par ton excitation et sans doute ta timidité dut a notre proximité...
 
 
Tu me regardes d'une manière sensuelle, tu me saisis par le col de ma chemise et tu m'embrasse fougueusement tout en frottant ton bassin contre le mien, tu fais monter l'excitation, je me sens si à l'étroit. Nos sexes se frottent l'un à l'autre. Toi aussi tu es dur. L'excitation est en nous, l'amour aussi...
 
Ma virilité bien gonflée me fait souffrir. Il faut remédier à ça, sinon je ne donne pas cher de ma peau...
 
Je détache mes lèvres des tiennes, je descends mon visage pour embrasser ton torse, si doux, si blanc. Ta peau laiteuse est tellement délicieuse... tu gémi... tu gémi mon prénom ce qui m'excite encore plus. Tu as décidé de me torturé non ?
 
Plus je descends le long de ton corps, plus tes gémissement se font fort et intense. Cette douce mélodie berce mes oreilles.
Je te regarde doucement, tu me caresse la nuque, je frémis à cette sensation. Tes mains sont tellement douce ... je n'avais jamais ressenti ça avant... c'est peut être ça de faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime ou peut-être, est-ce simplement parce que c'est toi...
Tu détaches un à un les boutons et me caresse du bout des doigts mon torse en retraçant un à un mes muscles. Je te regarde faire en me mordant la lèvre... tu es si sexy quand tu me fais cela...
 
Tu fais glisser ma chemise lentement le long de mes bras, les dénudant petit à petit. Puis, tes mains viennent s'échouer dans mon dos afin de me l'agripper.
 
Nos baisers reprirent de plus belle et aux filles de nos étreintes, nous nous retrouvâmes nu l'un contre l'autres, nos virilités gonflées par l'excitation  on a tous les deux envie l'un de l'autre. Tu continus à frotter ton sexe contre le mien. Nos respirations sont haletantes et nous ne cessons de nous embrasser, ne nous interrompant que pour reprendre nos respirations.
 
Voyant que je ne me décide pas à aller plus loin, tu prends doucement une main et me suçote les doigts, invitation à te préparer. J'imagine aussitôt que c'est autre chose que tu as en bouche et mon excitation, que je pensais être à son paroxysme, grimpe en flèche...
 
Je glissai ensuite, doucement, un doigt dans ton intimité. Tu te crispas sous cette sensation, puis une fois détendu, au bout de quelques secondes, j'en glissai un deuxième puis un troisième. Je les bouge doucement pour que tu te fasses à cette sensation. Au début de la douleur puis enfin du plaisir. Je m'amusai avec mes doigts à caresser tes parois, te faisant pousser quelques légers gémissements, puis, je pose mes lèvres dans ton cou afin de te faire un suçon et, à l'entente de tes gémissements tu dois visiblement bien apprécier...
 
 
Une fois bien amusé avec cette douce torture, je retirai doucement mes doigts. Je t'agrippai par les hanches et t'attira sur moi te pénétrant tout en entier par la même occasion. Tu es si serré, c'est agréablement chaud à l'intérieur. Je ne perdis pas une seconde et commença mes vas-et-viens en toi, te faisant aller de bas en haut en te soulevant pas les hanches et toi, prenant appuie sur mes épaules. Une danse de l'amour commença entre nous, mon corps emboité dans le tiens... Ces petits mots d'amour lâché de temps à autres... ton corps en sueur se frotte contre le mien donnant un parfum assez excitant qui bouscule tous mes sens. Le plaisir monte en moi ainsi que pour Toi. Tu t'approches de la jouissance, je le sens. Ta respiration se coupe, tu jouis entre nous deux et quelques coups de reins, plus tard, je déverse ma semence en toi.
 
Je tombe en arrière de toi, t'entrainant dans ma chute. A bout de souffle, mais heureux...
 
 
 
« Jamais... On ne m'avais fait l'amour comme ça... avec tant de tendresse... »
 
 
 
Mon c½ur ratte un battement. Je suis tellement heureux d'entendre ça.
 
Je t'embrasse très tendrement et caresse doucement tes hanches...
 
 
 
 
 
 
J'aurais tellement aimé passer plus de temps à tes côtés, mais ce temps ne s'était résumé qu'à cette soirée. Jamais je n'aurais pensé que notre première fois aurais été notre dernière
 
Tes yeux, ta bouche, ton visage, ton corps, ta présence, je m'en souviendrais à jamais, de tes mains sur mon corps, ton souffle dans mon cou, de ta douce voix, je m'en souviendrais à jamais, tout cela sera encrée en moi comme la blessure qui ronge mon c½ur
 
Je me souviendrais toujours de ta voix, de ton rire et de ton chant désastreux.
 
Je me souviendrais toujours de la douceur de ta peau contre la mienne, celle de tes lèvres contre les miennes. Je me souviendrais toujours de ton odeur, de tes petits gémissements, et de ton râle de plaisir quand tu te libérais... de ta coiffure et de ton visage après l'amour qui te donnait un coté si sexy.
 
 
 
Moi sur ce lit d'hôpital, je suis seul, ou du moins... accompagné de mon chagrin, de mes souvenirs et de ma douleur... cette douleur qui ne cesse d'augmenter de jours en jours...
 
 
Tu as été tué sur le coup et tout ça par ma faute... tu été à la place du « mort » ce camion roulait trop vite et je n'ai pas pu l'éviter... je ne l'ai vu qu'au dernier moment...
 
Le choc a été violent... ton corps n'était plus qu'un amas de chair et d'os... tu as eu le cran explosé et tes membres ont volé à quelques mètres... moi, ça a été le cas pour ma main droite... j'ai été également amputé des deux jambes. Une grande balafre couvre une partie de mon visage et je suis également aveugle de mon ½il gauche... un bout de verre s'est planté droit dedans tel une cible... Je ne veux pas continuer à vivre comme ça. Ça m'en est impossible... je m'en veux tellement... tu avais tellement de belles choses à vivre, tu sais mon amour.
 
 J'ai entendu les médecins parler, et il y a peu de chance que je m'en sorte tu sais ils ont beau me maintenir en vie avec toute ses machines... je sais et je le sens... mon état de santé se dégrade de plus en plus. Je n'ai plus la force ni le courage de me battre pour m'en sortir, de toute façon ma vie, elle est  foutue sans toi tu le sais hein ! C'est magnifique dans un sens non ? On va être enfin réuni à jamais mon amour, dit moi que tu m'attendras hein, je veux qu'on continu notre histoire dans l'au-delà tu sais. J'attendrais que ma mort vienne. Ma déesse,  je viendrais te rejoindre et je serais ton dieu, je serais le seul à tes yeux, et nous pourrons nous aimé comme pendant cette nuit où nous étions enfin réunis....






 
Tags : uruha, aoi, one shoot, death, mort, larme, accident, yaoi, lemon, visual kei
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#Posté le lundi 29 octobre 2012 07:23

Modifié le vendredi 10 janvier 2014 13:32

OS ReitaxAoi: Seme ou Uke? Réécris

OS ReitaxAoi: Seme ou Uke? Réécris


NOTE: Voici l'OS réécrite, bonne lecture!


Seme ou Uke??
 
 
POV Aoi

Je m'appelle Aoi, j'ai 33 ans et je suis vendeur dans une boutique de prêt-à-porter style rock.
Ça fait quelque temps que je travaille ici et l'autre vendeur n'étais pas tellement professionnel. Il puait souvent l'alcool et avais tout le temps les yeux rouges si vous voyez ce que je veux dire.
Mon patron m'a juste dit sur lui qu'il avait 31 ans et qu'il était atypique. Je vais aller loin avec ça pour me faire une idée sur lui avant de le rencontrer.
Il doit arriver dans la journée. Je suis dans l'arrière-boutique en train d'ouvrir les cartons de commande afin de mettre des choses en rayon quand j'entends la porte de devant s'ouvrir. Je vais dans le magasin et vois un jeune homme assez svelte, les cheveux en l'air avec un bandeau sur le nez. Au premier coup d'½il je le trouve assez beau. Il a un style qui lui va bien je dois dire.
 
Le magasin n'est même pas ouvert qu'il est déjà là, voilà un bon point pour lui !
 
« Bonjour, euh j'ai vu que la porte était ouverte, je me suis permis de rentrer, je suis le nouvel employé, je m'appelle Reita.
-Moi c'est Aoi, le patron m'a parlé de ta venue. Où tu te trouves, comme tu l'as deviné c'est le magasin, d'où je viens c'est l'arrière-boutique au fond à droite se trouve la salle des employés et au fond à gauche les toilette. Si tu as des questions pose les moi.
-Oui j'en ai une. Es-tu gay ? »
 
Je le regarde étonné. Il est sérieux de me demander ça comme ça ? surtout qu'on ne se connais pas le moins du monde.
 
« Ça ne te regarde pas ! »
 
Il est gonflé celui-là quand même. Je lui en pose des questions du style moi ? non ! il n'est pas délicat pour un sous celui-là. Et puis ça lui apporterait quoi de savoir ça ?
 
« Dominant où dominer ?
-Mais qu'est-ce que ça va t'apporter de savoir mon orientation sexuelle et si je préfère être dominé ou on au lit ?
-ça peut toujours être utile, personnellement je préfère dominer »
 
Ce gars est complétement cinglé. Le patron se fait un pari de l'employé le plus taré ou quoi. Il fait ça pour me mettre à l'épreuve c'est pas possible, je ne vois pas d'autre raisons. Il a un sérieux problème ce mec. Un jour où je ne vais pas m'y attendre il va me prendre contre un mur et tout ça se sera la faute de mon boss !
 
Un peu agacé je souffle et vais finir de mettre les quelques bijoux sur les présentoirs. Je retourne la pancarte « ouvert / fermé » sur la porte devant et regarde dans sa direction.
 
« Bon, j'ouvre le magasin, soit professionnel avec les clients.
-Du coup t'aime plus dominer ou être dominé ?
-Tais-toi un client arrive !
-Pff ouais c'est ça, défile toi... murmura-t-il. »

 
J'accueille l'adolescent qui viens assez régulièrement à la boutique et lui montre les dernières nouveautés, les choses qui pourrait peut-être lui plaire.




POV Reita.
 
Cet homme est parfaitement à mon goût, de plus il a une bonne petite tête de soumis. Mmmh en plus il doit être un sacré coup !
 
Je me mets derrière la caisse et l'observe du coin de l'½il.
Je rêve ou ce gamin viens de lui pincer les fesses, c'est quoi ce délire ça encore ? encore un gamin qui a la crevette qui frétille pour un rien. Il faut laissez les choses importantes aux grandes personnes.
D'ailleurs faudra que je lui tâte les fesses, elles ont l'air d'être bien musclé, ça donne envie de toucher et pas seulement qu'avec les yeux.
Vient de lui pincer les fesses et l'autre imbécile n'a rien sentit... Huuum musclé son cul, miam.
Le gamin est parti dans une cabine et en ressort avec un haut assez serré. Il est sérieux ou quoi ? môssieur se pleins exprès en essayant de faire une tête mignonne quoi que mon beau brun lui fasse un compliment. On nage en plein délire. Il s'est cru où le mioche ? Sérieusement ?
Je ne vais pas le laisser faire comme ça en admirant la scène. Ce n'est pas mon genre.
Je décide donc de fourrer mon nez dans cette affaire ou plutôt mon bandana. Je m'avance vers eux avec mon plus beau sourire de psychopathe.

«  Bonjour, vous avez besoin de conseils ? »

Le gamin devient blanc en me voyant. Il prend rapidement le haut et va en caisse. Il paye et part précipitamment. Petit merdeux, ouais c'est ça barre toi ne joue pas sur mon territoire !


« T'es content ? Tu l'as fait fuir ! Me dis Aoi.
- En même temps ce petit con te draguait et te faisais du rentre dedans. Tu pourrais être son père il est con ou quoi ?
-Et alors ? qu'est-ce que ça peut te faire ?
-Je n'ai pas envie de me retrouver seule à la boutique car tu te seras fait arrêté pour pédophilie »


POV Aoi.


Ça fait une semaine que Reita bosse ici, une semaine où je suis limite harcelé pour que je lui dise tout sur moi, jusqu'à mes positions préférées.

D'ailleurs, j'ai appris par mon cher cousin Uruha, que Reita était son meilleur ami, et que cet homme était un vrai bourreau des c½urs qui serait prêt à tout et n'importe quoi pour attraper sa proie dans ses filets, selon lui j'ai dû soucis à me faire car quand il a une idée dans la tête il ne l'a pas ailleurs.
Encore une journée de travail comme les autres. On met en rayons les nouveaux arrivages.
Je vais ensuite faire un tour près des cabines d'essayage pour voir si elles sont propres ou si un client n'aurait pas oublié quelque chose. Je vois quelque chose de brillant au sol. Je ramasse le petit objet au sol et vois que c'est une boucle d'oreille. Quand je me relève je sens une présence dans mon dos.

Je me retourne et voit mon collègue blond juste à quelques centimètres de moi. Une légère panique prend possession de mon corps et sans que j'aie le temps d'agir, je me fais plaquer contre la paroi de la cabine, une de ses mains contre le mur, près de mon visage.
il se penche légèrement en avant et me regarde fixement dans les yeux...

Je sens mes joues rosir à une vitesse folle.

« Toi, t'es un uke. »

... ... ... Nan mais il en a pas fini avec ça ? !

« Tu sais que tu me rends dingue... »

Il approche doucement son visage du mien.

«  Et tu m'excite terriblement... »
 
A sa remarque je deviens rouge. Il me regarde les yeux remplis de désirs. Je suis plaqué fermement contre la paroi de la cabine. Il approche de plus en plus son visage, jusqu'à ce que nos lèvres se touche, puis m'embrasse avec férocité. J'essaye de gigoter mais il a beaucoup plus de force que moi.

Bon je suis vraiment désolé, mais aux grands mots les grands remèdes.
 
Je lui mets un coup de genoux au niveau de son entre-jambe puis lui administre une magnifique droite.
 
« Connard ! »


POV Reita.

 
Ma lèvre saigne, j'essuie le sang du revers de ma main. Je vois de la fureur dans ses yeux, putain il m'a fait mal ce salop, mais ça m'excite encore plus.
Crois-moi quand je vais pouvoir t'avoir, je vais te prendre tellement fort, tu hurleras tellement...
Je te vois partir en courant le rouge aux joues. Je ne m'étais pas trompé, tu es vraiment un soumis.
2 semaines depuis le baisé. J'ai assez attendu. Tu as baissé ta garde. Hum parfait.
J'ai pensé toute la matinée à comment j'allais faire et c'est sagement que j'ai attendu jusqu'à la pause de ce midi.
Tu fermes la pause du magasin pour la pause de midi, je fais comme si de rien était et ranges quelques affaires dans le magasin. J'attends d'entendre le bruit d'une chaise, signe que tu t'assois pour te rejoindre dans la salle de pause. Une fois à l'intérieur de la pièce, je ferme la porte à clé. Clé que je mets dans mon boxer, je sais que tu viendras pas la chercher là-dedans petit soumis.


Tu as désormais baissé ta garde, et c'est maintenant que je réattaque.

Tu fermes le magasin pour la pause de midi et tu vas dans le local des employés pour manger, je te suis et une fois rentrée dans cette salle, je ferme la porte à clé...

Tu me regarde surprit, je vois bien que tu ne comprends rien de ce qu'il se passe.

Je me rapproche de toi et tu te lèves précipitamment de ta chance, manquant de tomber. Tu recule à chacun de mes pas, très vite tu te retrouves bloqué, entre moi et le frigo.

« Tu sais que tu m'excite de plus en plus ? Et tu as eu de la chance que je ne sois pas passé à l'attaque plus tôt. Je sais que je t'attire, ça s'entend dans ton souffle, le rouge que tu as aux joues. Ne ment pas. Et puis rien qu'en goutant mes lèvres tu deviendras accro et tu ne voudras plus me quitter !
-Et tes chevilles, ça va ? Dit le plus âgé.
- Elles vont très bien merci. »

Je lui fait un de mes sourire charmeur qui ferait fondre n'importe qui.

Je me rapproche un peu plus de lui et passe un bras autour de ses hanches et place une main au creux de ses reins.

Je dépose mes lèvres sur les siennes.... Elles sont si douces, si chaudes, si pulpeuses. Elles m'avaient tellement manqué.
Je l'entend lâché un petit gémissement, j'ai visé juste.

Je laisse ma langue parcourir ses lèvres pour qu'il me donne l'accès à cette douce sucrerie qu'est sa bouche
Nos langue se touchent, se caressent, me rendant dépendant de lui à chaque minute qui passe
Je l'attire vite sur le canapé, moi au-dessus de lui, je le contemple....Il est si appétissant..

Je lui dépose plein de baisers papillons dans le cou et m'attarde sur un petit endroit en particulier, que je lèche, que je suçote et que je mordille dans un but bien précis.
Il émet un petit gémissement tout à fait adorable, me faisant sourire. En reportant mes yeux sur son cou, je vois qu'un joli petit suçon s'y trouve, signe qu'il m'appartient, rien qu'à moi...

Je glisse mes mains sous son t-shirt, parcourant de mes mains son torse si doux, puis le lui retire.
Je ne peux rester qu'en admiration devant son torse légèrement musclé
Je lui dépose des petits baisers sur ce dernier, m'attardant sur les deux petits boutons de chaires, leur réservant un traitement encore pire qu'à son cou.
Ça le fit se cambrer et un frisson parcouru tout mon corps... Personne ne m'avait excité comme ça avant lui.

Je défis doucement sa ceinture histoire de le faire bien languir, puis une fois ceci fait j'envoie son pantalon baladé à l'autre bout de la pièce. Il est en boxer devant moi, sous lequel je peux facilement voir une belle bosse qui m'annonce quelques choses dont je ne serais pas déçu en dessous.

J'embrasse cette dite bosse qui durcit encore plus au contact de mes lèvres. Il s'accroche au canapé et émet d'autres gémissements. Je le fais attendre, j'adore ça, bien que je commence moi aussi à me sentir à l'étroit dans mon jean. Il faut dire que la vue de ce bel apollon sous moi est loin de me déplaire.

Voyant que je ne fais plus rien à part l'admirer, il commence à enlever mon haut. Impatient sans doute que nous passions à l'étape supérieur.

Il caresse mon torse du bout des doigts, puis me regarda droit dans les yeux.

« Tu me fait souffrir... Dit-il d'une voix lascive. »
Sa bouche si charnue est légèrement entrouverte, son souffle se fait de plus en plus rapide et son regard est noyé par le désir. Cette simple vision me fait perdre tous mes moyens, je me débarrasse du reste de mes vêtement et me colle à lui, l'embrassant à pleine bouche, collant nos deux virilités l'une à l'autre. Une de mes main s'égare dans ses cheveux, tandis que l'autre caresse son corps.
Sa virilité est au plus dure de ce qu'elle peut faire je la sens contre mon bas ventre. Je descends le long de son corps en lui déposant des baiser un peu partout sur sa peau nue.

Je saisie sa virilité à sa base, et commença à donner des petits coups de langue, puis des plus grand sur toute la longueur de la verge encore et encore, j'arrête le supplice en le prenant totalement en bouche en faisant des mouvement de vas et vient. Plus les minutes passent, plus l'excitation augmentait, plus il est proche de l'extase. Il finit dans ma bouche avec un grand râle de plaisir. Cette sensation chaude sur ma langue, son sexe se contractant... tellement délicieux.


Une fois avaler son doux nectar, e reviens à la hauteur de son visage. Il est tout rouge, en sueur et essoufflé par le plaisir.
Je porte ma main à son intimité. Il est quasi près pour que je vienne en lui. Je mouille mes doigts et les insère un à un. Je le vois se mordre la lèvre et je l'embrasse sur l'intérieur des cuisses.
Quand je sens qu'il est prêt j'insère mon sexe petit à petit pour ne pas lui faire mal. Il fois qu'il est habitué à ma présence je bouge petit à petit. Je l'embrasse à pleine bouche, lui me rendant mon baisé, agripper à mon cou.
J'accélère le rythme, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ses ongles lacèrent mon dos mais je continu, je l'entends crier de plaisir sous moi. Je dévore son cou, ses lèvres.
Je sens son sexe se contracté contre mon ventre puis un liquide chaud en sortir, quelques instants après je le rejoins.

Je m'approche de ton visage et je capture tes lèvres pour te donner un baiser digne de ce nom, reflétant tous les sentiments que j'éprouve à ton égare, toi ma proie tant convoitée...
Je m'effondre à tes cotés.

Tes yeux, expriment tout, ton amour, même si tes paroles, jusqu'à présent, exprimaient le contraire.

« Je le savais que t'étais un uke...
- Imbécile ! Dit Aoi tout rouge.
- Moi aussi je t'aime »

Je ne crois pas que l'on va ouvrir la boutique cette après-midi, on va surement s'atteler à une tout autre activité, hé hé.
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#Posté le mercredi 31 octobre 2012 09:18

Modifié le mercredi 03 août 2016 10:29

OS: Tu m'attire comme un aimant. Réécris.

OS: Tu m'attire comme un aimant. Réécris.
NOTE: Bonjour, je suis de retour avec ce one shoot réécris. Il date de novembre 2012. Ce qui commence à faire xD Et à la base c'était une commande... écrite à 2h du matin.

J'ai fais quelque chose de plus mature et je suis tout de même assez satisfaite.
Désolé pour les possible fautes.

Bonne lecture n'hesitez pas à commenter!



Tu m'attire comme un aimant
 
 
 
 


Aujourd'hui c'est mon premier jour en tant qu'assistant d'un chef dans un restaurant assez renommé de Tokyo. 

Je suis assez stressé. 

Jusqu'à présent, je n'avais fait que des petits boulots par ci par là en tant que serveur, en plus j'ai entendu dire que le chef était assez sévère, qu'il faisait peur, rien que d'y penser ça m'en fait froid dans le dos. Je dois stresser pour rien, enfin j'espère...

Je voudrais garder ce travail assez longtemps car ça me soule un peu de devoir en retrouver tous les 6 mois, donc le vieux faudra pas que je l'énerve
Je descends à l'arrêt le plus proche du restaurant. Il m'a envoyé un mail pour m'indiquer les horaires et diverses indications.
 
Je me dirige vers une ruelle juste à côté du bâtiment et je rentre par la porte de derrière.
 
Après avoir passé un petit hall j'arrive dans la cuisine, toute carlé en blanc. Toute les surface sont en inox. Tout cela brille, tout comme le sourire du beau jeune homme qui se trouve ici.
Je me trouve ace à un homme plus grand que moi, un peu plus jeune.
Il me sourit et s'avance vers moi.
 
C'est peut-être un cuisinier ou un serveur, ouais plutôt un serveur !
 
Faut qu'il fasse attention sinon il risque de se blesser avec tous ces couteaux...
 
 

"je me présente je suis Kai, le chef cuisinier de ce restaurant"
 
 
 
Quoi ? Lui ? Avec sa tête toute mignonne et son jeune âge devrais être le, je cite : « le chef sévère et qui fait peur ».
Je sens que Reita m'a fait une petite blague, de mauvais goût....
Il va m'entendre celui-là !
 
Je reprends très vite mes esprits, lui souris et m'incline.
 
 
 
« Bonjour enchanter de vous rencontrer monsieur, je suis Aoi »
 
 
Il s'incline également puis rigole.
 
 
« En me vouvoyant tu viens de m'envoyer 10 ans dans la figure, et le monsieur... Appel moi Kai et tutoie-moi s'il te plait.
-Ah euh oui bien sûr !
-Bien, je vais te montrer la cuisine, la place des différents équipement, tout ce qu'il faut savoir en somme »
 
 
 
Je le suis dans la cuisine qui est quand même assez grande, il se baisse pour me montrer ce qu'il se trouve dans les placards en bas. Je n'ai pas pu m'empêcher de mater ses fesses. Il est plutôt bien foutu... grrrr


Il est assez chaleureux, et il n'est pas barbare du tout, je sens que je vais me plaire ici ! Je vais venir chaque matin au boulot en sifflant. Le courant passe bien entre nous, je suis vraiment content, il n'a pas tant fait de la merde que ça Reita !
Nous nous mettons assez vite au travail.
 
 


Les journées passent et elle ne se ressemble pas !
 
Voici maintenant un peu plus d'une semaine que je travaille là et je dois vous avouez que je ne vois pas le temps passé même si les journées de travail sont très longues et fatiguant, mais j'aime mon boulot, l'ambiance dans lequel nous travaillons.
 
Mais je dois avouer que je suis assez perturbé vis-à-vis de mon chef, Kai.
 
Il regarde tout le temps ce que je fais. Il travaille depuis sa sortit du lycée ici, bien qu'il ait commencé, bien qu'illégalement depuis le collège. Les anciens propriétaires étaient des personnes assez âgées et qui, vu qu'ils n'avaient pas d'enfant, lui ont légué, vu qu'il est un ami de la famille, enfin bref passons les détails. Du coup il a un très grand savoir aire et une grande technique et du coup il me les enseigne...
 
Mais sa méthode est assez perturbante. La première fois je ne m'y attendais pas, mais alors pas du tout.... Il s'est mis derrière mois, quasi collé contre mon dos, je dois bien avouer qu'il ne manquait quelques millimètres. Et a saisi mes bras et mes mains afin de me montrer les bons gestes.
 
J'ai senti son souffle chaud dans mon cou. Cela me déclenche à chaque fois des frissons.
Ça m'électrise totalement à chaque fois ! Bon vous allez vous dire que ça ce n'est rien... mais quand pour vous féliciter il vous met une main aux fesses avec un « c'est bien tu as fait du bon travail ». Et en plus il me reprend pour des tout petit truc de rien du tout. Bon je ne vais pas m'en peindre ! Vous allez me prendre pour un cinglé, mais je crois qu'il me fait du rentre dedans... Ouais ça doit être ça.
En plus, la semaine dernière il m'a dit de nettoyer les hottes des gazinières, qui sont assez haute. J'étais donc perché sur un escabo, pour atteindre les coins les plus haut, j'ai dû me mettre sur la pointes des pieds. Autant vous dire que je n'étais pas très stable. Mon cher patron est arrivé vers moi et m'a saisi par les hanches, parce que, « il ne faudrait pas que tu tombes, sinon tu risques de te faire mal ». Bon ça veut dire quelque chose non ?

Je sais ce que vous allez dire... « Nan mais tu dois imaginer des choses ! »
Non... est ce que votre chef vient souvent, par erreur, lorsque vous vous changez dans les vestiaires. Et que lui aussi viens se changer, alors qu'il reste plus longtemps mais qu'il sort « oh j'en ai marre de ma tenue de travail »
Je ne crois pas.
Mais mon dieu, qu'est-ce qu'il est bien foutu, je vous jure, il est musclé, une peau parfaite. Ça ne me donne des idées pas très très clair.
 
Et les petites mains baladeuses de temps en temps ou ses regards perçant et déstabilisant.
 
Là, vous n'allez pas me dire qu'il y a pas quelque chose là-dessous ?
 
Aujourd'hui nous avons organisé un petit évènement au restaurant. Toute les femmes qui viendront recevrons une rose et une réduction sur l'addition qui dépendra du repas et de ce dont elles auront pris. Le Restaurant ouvre à 7h et ferme à 22h30. Nous avons des coupures dans la journée. Je suis donc arrivée matin à 6h30.
 
Nous avons un serveur en salle qui se chargera de s'occuper des clients en les accueillant, prenant leurs commandes, ...
 
Nous avons une pause de 10h à 11h30. Mais nous travaillons encore. Lui comme moi aimons que tout soit impeccable et donc nous finalisons nos pâtisseries et autres plats froids.
 
Je manque de me couper un doigt quand il frôle ma cuisse du bout de ses doigts.
Kai... je n'ai pas envie de finir un doigt en moins...
 
Je le vois partir dans la petite réserve, et revenir avec une rose qu'il me tend.
 
WHAT ?
 
Bon, maintenant je dois être une gonzesse. M'offrir une rose à moi, Aoi... Cuisinier bras droit du chef, qui a pourtant entre les jambes tout l'attirail qui fait de moi un homme.
C'est gentil, mais voilà, m'a virilité viens d'en prendre un coup...
 
 
 
« Merci... Mais je suis un homme...
-Je sais, me dit-il avec un immense sourire »
 
 

Pendant que je réalise sushi, onigiri, je le sens passé à mainte reprise derrière moi. Des fois il met des mèches de cheveux qui se sont échappé de la queue de cheval en place en caressant ma joue ou ma nuque.
 
Ou encore il me remet mon tablier en place en me caressant le dos par la même occasion.
 
 
J'essaye de pas ma laisser me déconcentré, mais honnêtement ce n'est pas évident du tout car beaucoup de choses me passe par la tête, mon dieu, je vais pas finir la journée je le sens !
 
Il passe derrière moi, pendant qu'il range des choses, et je le sens me frôler les fesses de sa main. Je prends sur moi je ne bouge pas d'un cil. Allez mon grand tu peux le faire !
 
5 minutes après il repasse. Mais, là... je sursaute. Il me pince les fesses.
 


« Kai... Euh... Tu pourrais... arrêter de me tripoter s'il te plait... dis-je peu sure de moi.
-Pourquoi tu n'aimes pas ?
-Ah si si euh non enfin... »
 
 
Merde, mais qu'est-ce qu'il m'arrive moi qui est si sûre de moi d'habitude, je suis tout.... Perdu, désarmé... il a un charme pas possible.
De plus il me regarde d'une telle façon. Les yeux dans les yeux, un fin sourire sur ses lèvres.
 
 
« Et alors, pourquoi voudrais-tu ... que... J'arrête de caresser ton magnifique corps... ?
-Bah je pourrais me couper, je ne m'y attends pas à chaque fois ...
-A chaque fois... moi qui croyais que tu ne sentais rien. »
 
 
C'était bien ait exprès alors ! j'avais raison. Mon dieu... La distance entre nous deux se réduit fortement.
 
 
« Je suis content que tu avais remarqué, mes avances, je commençais un peu à désespéré »
 
 
J'avais bien raison... Mon dieu, je fais quoi. Je suis crispé, et la main qu'il pose sur ma hanche me met une décharge dans ton mon corps.
Je suis bloqué entre lui et un plan de travail...
Je suis pris au piège...
 
De son autre main, il caresse délicatement ma joue. Il avance sa tête jusqu'à mon cou et hume mo odeur.
 
 
« Ton parfum... est, vraiment enivrant. »
 
 
Il passe ensuite ses doigts dans mes cheveux tout en se redressant et en me faisant fasse.
 
Son regard se plonge dans le mien. Mon dieu... J'ai chaud... Il m'hypnotise.
 
 
« Aoi, tu sais que, tu m'attire comme un aimant ? »
 
 
Je déglutis et je le regarde. Faut que je trouve un truc à dire
 
 
 
« Euh...
-Je ne pensais pas que tu serais aussi timide avec moi... On m'avait dit que tu étais quelque peu entreprenant... »
 
 
Reita... tu as signé ton arrêt de mort !
 
 
« Mais bon, ça me plait bien, ça veut dire que je ne te laisse pas indiffèrent !
-O..Oui.. »
 
 
Sa main se place désormais derrière mes hanches et m'attire contre son corps.
Je le regarde dans les yeux. Puis mon regard dévie sur ses lèvres. Si attirante.
Et comme d'un accord commun nous plaquons réciproquement nos lèvres sur celles de l'autre.
 
Je ferme les yeux et passe mes bras autour de son cou en me collant encore plus à son corps.
 
Nos langues commencent à effectuer une douce danse. Un gout de de fraise dans sa bouche... tellement délicieux.
 
Ses mains s'attardent sur mes fesses et nous nous détachons. Je le regarde avec un sourire un peu moqueur
 
 
« Tu ne peux pas t'en empêcher. Il est vrai, que toi aussi, tu m'attires comme un aimant. »


Tags : one shoot, kai, aoi, yaoi, the gazette, visual kei, Reita, Amour
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#Posté le jeudi 01 novembre 2012 08:02

Modifié le mardi 19 avril 2016 05:40

OS: Ce que je veux manger c'est toi! Réécris

OS: Ce que je veux manger c'est toi! RéécrisNote: Bonjour, me revoici avec une one shoot réécrite! J'espère qu'elle vous plaira, donnez moi votre avis en commentaire!
 
 
Ce que je veux manger, c'est toi!
 
 
POV Kai
 
 
 
Il est si beau avec son bandeau sur le nez, son nez qui est si petit et mignon... et puis son sourire... il ferais fondre un ice berg. Ses cheveux on dirais de la soie tellement ils sont doux. On a envie de plonger ses mains dedans à l'infini et lui faire des papouilles.
Il a l'air froid mais en fait pas du tout, il est très gentil doux et taquin. Il a un caractère bien trempé mais il n'est pas méchant du tout. Il est généreux, talentueux, créatif. Il a tellement de qualités.
Mais voyez-vous. Il y a tout de même un truc qui m'agace chez lui. Je me pli en 4 pour lui. Je fais tous ses plats préféré et à chaque fois c'est la même chose, il refuse de manger ma cuisine.
Vous savez pour quelqu'un comme moi, qui aime cuisiné, qui est fière de sa cuisine. D'ailleurs une fois on l'a même comparé à une cuisine de grand restaurant ! Mais lui, à chaque fois, il dit qu'il aime pas ma cuisine, alors qu'il n'y goute même pas.
 
Vous savez ça me blesse, j'ai l'impression de m'éloigner de plus en plus de lui. On m'a tout le temps dit en plus qu'un homme on le tiens par son estomac. Alors déjà que ce n'est même pas mon homme, comment puis-je l'attirer sans nourriture ?
 
Un jour je saurais le pourquoi du comment, le pourquoi il n'aime pas ma cuisine !
Je vais même tout de suite aller lui demander ! oui c'est ça ! je vais sortir de mon appartement et lui demander !!
 
J'enfile une veste, met un chapeau et mes lunettes de soleil et sort de mon appartement.
Je déambule dans les rue de Tokyo jusqu'à l'appartement de Reita. Je veux savoir la vérité ! Oui je la saurais et j'en suis bien décidé.
 
J'arrive en bas de son immeuble et monte les escaliers. Mince je commence à stresser. Mais pourquoi stresser hein, c'est juste Reita. Reita c'est tout ! il ne va pas me manger hein. Bah non. Enfin je crois... Arriver à la porte de son appartement je sonne. J'entends des bruits de pas et la porte s'ouvre sur mon bassiste.
 
 
« Salut Kai, qu'est ce qui t'amène ?
-Salut, bah en fait j'avais quelque chose à te demander »
 
 
Mon ami me fait rentrer et nous nous installons au salon. Il nous apporte des jus de pomme et me regarde droit dans les yeux. Ses yeux pleins de questions.
 
 
« En fait euh... »
 
 
Oui ! vas-y Kai tu peux le faire, tu peux !
 
 
« Je voulais te demander...
-Oui ?
-Pourquoi tu n'aimes pas ma cuisine ? »
 
 
En fait j'ai vraiment l'air bête à demander ça, très bête. Je suis assez mal à l'aise là.
Un grand sourire s'étire sur ses lèvres. Un sourire que je pourrais qualifier de ... pervers ? pourquoi pervers ?
 
 
« En fait vois-tu... t'as cuisine, ce n'est pas que je l'aime pas. Je n'y ai jamais vraiment gouté vois-tu. Il y a juste quelque chose qui me semblais plus appétissant à chaque fois. »
 
 
Je ne comprends pas trop à quoi il veut en venir. Moi et mes idées à la con. Je me retrouve dans des situations pas possibles.
 
 
« Tu vois, ce que je préférerais, c'est te manger toi ! »


Je suis dans la merde. Allez Kai, ne panique pas, c'est rien tu as rêvé hein. Ce n'est pas un cannibale du tout. C'était au sens figuré genre il... en fait non je ne sais pas... au secours maman j'ai peur j'ai pas envie de me faire manger !!!
 
Je commence à me lever et partir vers la porte d'entrée


"bon bah je crois que je vais y aller, merci pour le jus de pomme sal.."
 
 
Malheureusement je me retrouve plaqué contre un mur. Mes poignets de chaque côté de ma tête maintenu par Reita. Il mort ma lèvre avec férocité.
 
Ce sont mes derniers instants. Ma mort se retrouvera en couverture de chaque magazine. C'est quand même triste de finir ainsi.
 
Je ferme les yeux trop apeurés et attend ce qu'il va se passer. Mais un contact doux contre ma bouche se fait sentir.
 
J'ouvre discrètement un ½il et cela confirme mes pensées. Je crois que c'est le plus beau jour de ma vie et je prends part à ce magnifique baiser. Nos langues commencent une douce et tendre danse bien que plus dure avec les secondes qui défile. Il lâche mes poignets et j'enroule mes bras autour de son cou. Il m'agrippe en dessous des fesses et me soulève pour que je puisse enrouler mes jambes autour de sa taille.
Il marche tout en continuant à nous embrasser puis me dépose sur une surface molle, je regarde où je suis et m'aperçoit que nous somme dans sa chambre.
 
Oulala je vais passer à la casserole... je tout excité... oulalala !!
Il est à quatre pattes au-dessus de moi. Il me regarde avec envie que ça en est même flippant. Il me dépose de millier de petits baisé sur mes joues, le coin de mes lèvres, mon cou, puis remonte au niveau de mon oreille.
 
 
« Si tu savais depuis quand j'attends ça. Je vais te dévorer... me murmurât-il. »


Il commence à me ré embrasser tout en passant ses mains sous mon t shirt, puis me l'enlève. Je le sens excité par le désir et il en va de même pour moi.
 
Sa tête passe dans mon cou. Il m'embrasse, me mordille. Je me cambre et frissonne. Une douce torture. Un sentiment de plaisir envahi mon corps. Je voudrais que cela ne s'arrête jamais.
 
Mes mains passent dans sa douce chevelure que je m'empresse de caresser. Mes doigts s'égarèrent sur ses épaules, le haut de son dos.
 
Sa bouche descend sur mon torse, des baisers, des frôlements. Ses doigts se rajoute et je les sens passé le long de mon torse.
 
L'excitation se fait de plus en plus présente. J'ai tellement chaud, j'ai tellement envie de lui.
Chaque caresse, chaque baiser m'excite encore plus. Je ne peux retenir quelques petits gémissements de plaisir.
Je ne sens plus qu'une seule de ses mains sur mon corps. La deuxième étant dans un tiroir de sa table de nuit. Il en sort un objet en métal. D'un seul coup mes poignets sont relevé au-dessus de ma tête puis en contact avec quelque chose de froid. Je me retrouve menotté. Mon dieu. Cette sensation de ne pouvoir bouger, d'être à sa merci est complétement électrisante.

Je le regarde enlever son haut, me laissant apercevoir son torse qui est tellement parfait.
Il défait la ceinture de mon pantalon puis les boutons un a un, lentement, avec un sourire carnassier sur le visage. Il retire mon pantalon, puis mon boxeur. Je me retrouve nu à nu devant lui. Je rougis face à ma nudité et ses yeux qui sont en train de me dévoré.
 
Kai ce n'est pas la première fois que tu le fais, détend toi !
 
Mon excitation est à son comble et je ne sais pas si je pourrais durer comme ça encore longtemps.
Il me caresse l'intérieur de mes cuisses, il m'y donne de petits baisers. Il remonte petit à petit jusqu'à la base de mon membre et le remonte en y déposant des baisers. Il y fait de petites léchouilles à son sommet. Je tremble je n'en peux plus... Ma virilité est tellement gonflée qu'elle m'en fait mal.
 
Je suis dans un rêve ce n'est pas possible. J'ai du mal à y croire.
 
Comme s'il avait entendu ma détresse, il prend ma virilité en entier dans sa bouche et fait des mouvements de va et vient tout en me caressant le torse. Je me cambre. C'est si bon. Tellement bon. Beaucoup trop bon même. Comme un verre d'eau bien fraiche par une grande chaleur.
il continu à sucer mon sexe, de plus en plus fort, je n'en peux plus, je vais craquer...
 
 
« haaaaaaaaaan »
 
 
Il avale ma semence puis enlève mon sexe de sa bouche avec toujours le même sourire carnassier sur le visage.
Il se redresse et enlève le reste de ses vêtements me donnant vu sur le reste de son corps. J'ai déjà mal à mes fesses rien qu'en voyant sa virilité. Il prend un tube de lubrifiant et en met sur son index. Ce dit index qu'il insère doucement et avec prudence dans mon intimité. Je suis tellement excité que je n'ai pas mal. Il met un deuxième doigt et un troisième il les retire et me donne un doux baisé. Il met un peu de lubrifiant sur le bout de son sexe et relève met jambe afin de les mettre sur ses épaules. Je sens son sexe qui s'insère doucement en moi, petit à petit. Il commence à faire des vas et viens très lents pour que je m'habitue. Dès que je sens que c'est bon je l'embrasse en bougeant afin qu'il bouge plus vite. Le rythme s'accélère de plus en plus. C'est tellement délicieux. Nous nous embrassons, passionnément. Bestialement. J'enfonce mes ongles dans son dos. Qu'est-ce que c'est bon. Ses coups de reins se font de plus en plus fort et rapide. Nous finissons par atteindre notre point de non-retour ensemble.
 
Il s'enlève délicatement de moi et s'allonge à mes côtés. Il est rouge, essoufflé et en sueur. Même comme ça il est magnifique.
 
 
« Je t'avais dit que je voulais te manger... et je dois avouer que je te trouve parfaitement à mon goût.
-Maintenant que tu m'as gouté, tu gouteras à ma cuisine hein ?
-J'y compte bien. »
 
 
Il dépose un doux baiser sur mon front puis me prend dans ses bras.
 
Un jour je te dirais que j'ai cru que tu étais cannibale.
 
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#Posté le vendredi 02 novembre 2012 08:52

Modifié le dimanche 31 juillet 2016 04:05

OS The GazettE: DERANGEMENT ou les Secrets du tournage du clip réécris

OS The GazettE: DERANGEMENT ou les Secrets du tournage du clip réécris


 
Note: Bonjouuuur! Je suis assez active en ce moment, c'est cool non? J'ai réécris cet OS que j'avais fait pour Noël 2012. J'étais malade, c'était 23h et j'ai vu Reita qui est devenu mon inspiration xDDD J'espère que vous l'apprécierez. Donnez votre avis en commentaire!
 
 
 
OS The GazettE: DERANGEMENT ou les Secrets du tournage du clip
 
 
 
Bon on va se mettre en situation d'abord un gros plan sur des toilettes... Vous voyez le genre ?
Puis une blonde assez bien foutu débarque dans ces dit toilette. Vous suivez toujours ? En plus en accompagnement sonore on a un bruit de soucoupe volante...
Vous ne voyez pas ?
 
Ensuite on a un gros plan sur un article de journal... Ensuite sur un mec qui refait son n½ud de cravate et ooooh une paire de fesses.
 
Ça y'est vous voyez enfin ? C'est pas trop tôt ! On parle du clip DERANGEMENT de the GazettE.
 
 
Clip de sado masochiste.... J'aime bien, même beaucoup, ce clip me fait planer, mais moi je sais des choses qui se sont passé pendant le tournage et que vous vous savez paaaaas!
Vous savez quoi aujourd'hui c'est mon jour de bonté et je vais vous révélez ce que j'ai vu la bas...
 
Et comment je sais ce qu'il s'est passé? Car c'est moi la réalisatrice MOUAHAHA non ne prenez pas peur !! Hey partez pas comme ça !!!
 
Pff bande de lâcheurs heureusement que certains sont restés enfin je crois...
 
Alors alors, d'où est venu mon idée pour ce clip.... Et bien j'ai lu relu et rerelu les paroles et rien ne venait en plus le tournage devait se passer le lendemain... Dans ces moments-là ne vous êtes pas dans la merde. Car le temps vous est compté et là...  Et là ce n'est pas n'importe quel groupe. J'avais le cerveau qui chauffais. Un peu de trop, et j'en ai eu tellement marre de réfléchir comme une imbécile que je m'étais dit que j'aurais une illumination divine.
 
Je suis devant ma télé je zappe et je rerezappe quand je tombe sur une chaîne française qui parle des quartiers chauds de paris... Je rezappe et je tombe sur un reportage sur les femmes trompées.... Je tombe ensuite sur une chaîne X avec un film sur les masochistes... Bon ce n'est pas que ça ne me plait pas mais à 12h devant mes Ramens c'est pas trop mon kiff... Je rechange. Une émission où un homme doit survivre dans la nature et mange des vers. Je regarde le contenu de mon bol je regarde une nouvelle fois la tv et je pousse mon bol avec dégoût, ça y'est j'ai plus faim...
 
Et d'un seul coup illumination divine !
 
Une femme est fait cocu par son mari qui se tape les streap teaseuse d'un endroit olé olé il a des penchants sados maso mais peux pas se lâcher à cause de sa femme qui est retissante...et puis les vers... pourquoi les vers... "n'oublies pas au prochain tour c'est la mort" vous comprenez maintenant pourquoi les vers ? Toujours pas ? Bon quand une personne décédé son corps se durci et une fois mis en terre les petits vers mangent le corps en décomposition... Aaah bah vous êtes long à comprendre...
 
Et que fait la place des toilettes là-dedans ? Et bien on en voit dans cockroach, dans filth in the beauty alors on ne change pas les bonnes habitudes...
 
Maintenant attardons nous un peu sur les membres... Vous voyez Ruki le chanteur... Le nain???
 
Qui c'est qui la traiter de nain?? Reita sort d'ici tout de suite, je raconte une histoire aux petits enfants tout sage en plus c'est juste avant noël et pas besoin de faire le malin ! Tu le ferras moins après quand on parlera de ton cas ! Hein tu t'en rappelle de bandera ? Oui c'est ça sort !! ET C'EST PAS LA PEINE DE ROUSPETER !
 
Bon Ruki, on avait essayé de le filmer de plein pied mais le problème c'était à cause de la structure de la salle, il faisait trop petit et tous les membres du groupe surtout l'autre coq au bandeau était exploser de rire c'est pour ça que monsieur Matsumoto Takanori dans le clip fait le fière et était légèrement vexer... On avait tout de même trouvée une solution !
Il avait proposé de l'agrandir via des effets spéciaux... Mais on n'allait pas pouvoir, ça allait faire trop surréaliste. Il avait proposé d'emprunter les chaussures à talon de Lucie la demoiselle blonde que l'on voit au début du clip problème. Les chaussures de Lucie lui allaient pas... il avait proposé d'installer des amplis et qu'il marche dessus... On a essayé... Ruki s'est littéralement vautrer par terre. Et oui il n'a pas mis le pied assez loin... Et du coup il a eu le pied coincé entre deux amplis et est tombé sur le côté, mais plus de peur que de mal...
 
On a donc opter de le filmer de bas et avec l'effet que cela faisait on avait l'impression que notre Ruki était graaand... mais en fait c'était tout le contraire. Ruki était tout fière de lui en regardant les images... Il se sentait grand ! Mais Reita en rageur qu'il est rouspétait dans son coin en traitant son ami de nain... Ce qui nous a valu une magnifique dispute sur les avantages d'être petit et un « Tout ce qui est petit est mignon et tout ce qui est grand est con, comme toi ! » Je n'ai jamais vu Reita aussi vexé...
 
En parlant de Reita ... Vous avez remarqué on ne voit pas sa tête dans le clip... Là vous vous dites... « Ouah stylé comme ils ont fait, ça fait mystérieux c'est trop bien pensé » Hé hé pas du tout ! On a dût s'adapté à la situation où plutôt à la connerie de Ruki ? C'était au moment du tournage avec la scène du couple. Les membres assistaient à la scène et Reita sentit son bandeau se déferre. Bon ça c'est une chose, il a donc demandé à Uruha de le rattacher. Mais Ruki encore vexé par les propos de Reita décida de se venger. Ruki tel un ninja... Oui j'avoue Ruki tu avais une grâce sans pareil et tu as été très agile sur ce coup-là. Donc reprenons, Ruki tel un ninja pique le bandeau de Reita et couru comme un malade dans toute la pièce. Mais le boulet qu'il est. Je te traite de boulet si je veux Ruki, va pas me dire le contraire, t'as pas géré sur ce coup-là ! Mais le boulet qu'il est, sans faire exprès, fit tombé le bandeau dans le faux sang. Et le faux sang, bah ça tache énormément. Et moi j'étais complétement désemparé, car voyez-vous, ça ne part pas au lavage... Reita commença à peter un plomb sur les lieux sud tournage et à même voulu partir, sauf qu'avec Aoi et Kai on l'a retenu. Reita arrête de te foutre de ma gueule s'il te plaît, oui je ressemble à rien avec mon bleu sur la joue, mais hein à qui la faute ? Arrête de rigoler, comment ça si je tu n'avais pas retenu tu m'aurais pas foutu un coup de coude dans la face ? Je tiens à mon boulot moi et puis c'est les risques du métier ! Uruha qui avais trouvé je ne sais où une bouteille d'alcool s'était désaltéré, mais avait un petit coup dans le nez et s'est ramené avec un rouleau de papier toilette. Il en enroulé une bande autour de la tête de Reita qui sur ce coup la ressemblais vraiment à une vielle momie !

 
Quoi ? Reita t'es pas d'accord ?? Aaah enfin quelqu'un qui est de mon avis merci Aoi... Oui Aoi une vielle momie rageuse... Arrête de te foutre de lui car après on va aussi passez sur ton cas, patiente...
 
Ruki avait tendu un vieux torchon a Reita qui lui balança en plein dans le visage avec un petit sourire moqueur en lui disant « Que ça changerais pas beaucoup de son vieux torchon taché de sang » A croire qu'il aime chercher la merde...Ah qu'ils sont indiscipliné je vous jure....
et monsieur ne voulait pas se montrer sans bandeau pfff
Le torchon aurais bien suffit en même temps ça aurais fait la même chose que bandera...
 
Bon maintenant Reita sa suffit t'arrête tes aller-retour soit tu restes et tu te tait soit tu te barre et tu peste dans ton coin compris?
 
Ah je vous jure les jeunes de maintenant...
 
Du coup on a trouvé la solution que monsieur Zorro nouvelle génération qui préféré cacher son nez que ses yeux -logique- garde la tête basse avec la capuche sur la tête.
Et à chaque fois qu'on voyait ne ce que serais ce qu'un millimètre de son nez, il pétait des durites et nous ordonnait découper au montage, ah ces stars....
 
Oh Aoi tu tombe pile au bon moment! Oui oui on va parler de toi ! Magnifique n'est-ce pas!?
 
Saviez-vous que notre chère Aoi ici présent avait des tendances masochiste?
 
AOI REVIENT ICI TOUT DE SUITE OU JE REVELLE TOUT, VRAIMENT TOUT!
 
Bon petit t'aura le droit à un susucre!
 
Alors oui notre petit a des tendances masochistes car quand nos chère messieurs dames tournait des scènes assez olé olé monsieur avait des petites étoiles dans les yeux et murmurait des "hum il faudrait de j'essaye" Le filet de bave n'était pas loin, il ne quittais pas la scène des yeux.
 
Oui oui Aoi je t'ai entendu en même temps... T'était juste à côté de moi... Et tu n'étais pas très discret il faut dire...
 
Et en plus il m'a demandé où est ce que j'avais acheté tout ça...
Et vous savez pourquoi ? Parce que monsieur a voulu faire mumuse le soir même avec son Ruwa d'amour mais malheureusement ce dernier n'avait guère apprécié la blague que son Suguru lui avait fait plus tôt dans la journée.
 
Mais part pas comme ça Aoi revient ? Quoi pourquoi je ne me la suis pas fermé ? Parce que je t'a pas dit que si tu restais je n'y disais pas hehe!
 
Quoi? Qu'elle fût la blague que le plus vieux avait fait a Uruha ? Attendez je vais tout vous raconter !
 
Ah.. Que c'était comique. Je vous explique : Uruha a peur de tout ce qui est insectes. Et j'avais donc commander pour le clip des petit vers enfin petit, façon de parler... Et monsieur Suguru s'amusais à balancer sur son petit ami qui criait et hurlait. Du coup Ruwa bouda pendant une bonne partit de la matinée. Ça se comprend le pauvre, il avait eu la peur de sa vie et lui avait dit pour le punir qu'ils feront de l'abstinence sexuelle. Après ça, Aoi à déprimé pendant bien une heure.
 
Kai notre petit cuisinier en étant dans la cuisine où se trouvait la viande avait eu l'envi de cuisiner. Nous ne l'avons pas arrêté enfin quelqu'un a essayer et devinez qui c'était... Reita bien sûr!
Je comprends pas pourtant il cuisine bien.. pff un rageur celui-là.... Bon c'est vrai c'était ni l'endroit ni le moment mais on avait faim. Il a donc été acheté deux trois trucs au combini du coin et nous a fait un repas pour toute l'équipe.
 
Juste après le déjeuner on tourne la partie du clip ou une femme mange un ver, Kai étant admiratif devant la femme et se demandant qu'elle gout ça avait et décida donc dit goûter. Je crois qu'il en est dégouté à vie, il nous régurgita tout le contenu de son estomac sur le sol... Magnifique déco dites donc!
 
Notre diva Uruha avait été un peu troubler, perturber par cette image d'horreur qui passait en boucle dans sa tête.... Ce corps couvert de poil. Ce qui m'étonna grandement c'est qu'il s'absentât pendant une bonne de dizaine de minutes et revenu un sac dans sa main droite et dans ce sac des pots de cire épilatoire Il s'approcha de l'homme toujours attacher et ne lui demanda même pas son avis -même si celui-ci gigotait dans ton les sens et criait de le libérer- et l'enduisis de cire... Une symphonie d'hurlement parvint à mes oreilles... Sa peau était aussi vierge que les fesses d'un nouveau-né... Epilation intégrale. Le pauvre je le plains. Notre chère guitariste était fière de lui.
 
Et pendant de tournage de scènes  Ruki s'est initié a la pôle dance, certes il était très gracieux, certes il fait tourner les têtes...
 
Oui mon ptit Ruki t'était sexy, oui tu peux être fière de toi!
 
Mais malheureusement il était trop petit donc ne pouvais pas aller bien haut, il abandonna donc vite de grimper et se contenta de se frotter sensuellement a la barre.
 
Pendant ce temps-là Kai, lui s'amusais à grimper tout en haut de la barre et à se laisser descendre comme un gamin tout en rigolant.
 
Mais oui t'était trop chouuu Kai! Ooh tu rougis !! Tu es vraiment trop mignon ! 
L'autre rageur...
 
Reita pas besoin de grogner on sait que t'es là et que t'es pas content.... Ah je sais pourquoi t'es pas content... T'as tes règles ! Hein ? Abstinence depuis une semaine ? En même temps acheter des pantalon taille 12 ans a Ruki ce n'était pas malin, fallait pas jouer avec ça... A croire que vous êtes tous obsédé du sexe dans ce groupe !
 
L'autre rageur, souple comme un manche a ballet a essayé. Il est monté en haut et a essayer de se cambré en arrière mais ses cuisses ont lâché prise et il a fait un magnifique plat par terre. Ce qui a déclenché un magnifique rire chez notre petit Ruki.
 
Uruha aussi gracieux qu'un signe...
 
Jolie, très jolie le passage de main dans les cheveux Uruha !
 
Uruha aussi gracieux qu'un signe, nous faisais de splendides figures avec sa barre... On aurait dit qu'il avait fait ça toute sa vie...
 
Quoi t'a passé 6 mois comme danseur dans une boite de streap tease??Ah je comprends mieux maintenant, tu viendras me donner des cours à l'occasion, je te payerais en bouteilles d'alcool... Ah cette lueur dans ton regard quand on parle d'alcool...
 
Il tournait autour de la barre et avec l'aide de ses genoux se maintenait et mit sa tête en bas. Au même moment Aoi, qui avais dut trouver la bouteille d'alcool d'Uruha, se mit à faire un streep tease. Tellement envouté par la danse sensuel de son petit amis Uruha oublier de se retenir et tomba mollement au sol pendant que l'autre en calbut se collait a la barre et en fessant des mouvement assez explicite si vous voyez ce que je veux dire...
 
Moi je vous dit, tournage fort en émotions en plus vous avez vu ce magnifique petit chef d'½uvre ?!
Quand même malgré tout ces petit contretemps j'ai réussi à boucler le tournage en une journée... En ayant commencé à 5 heures du matin et l'ayant fini autour de 23h30...
Mais bon, ça en valait vraiment le coup !
 
Bon Uruha et Aoi c'est fini de vous rouler des pelles là je parle...
Aoi ne me regarde pas comme ça sinon je raconte ce qu'il s'est passer... Ah vraiment tu crois que je vais me gêner...
 
Bon dernière anecdote... retenez la bien... Aoi a failli se faire violer par une des filles ! Il avait lancer un stupide pari de la draguer, seulement elle y a vraiment cru et elle l'a emmené dans les toilettes. Il est sortot en courant le pantalon sur les chevilles est venu se blottir dans les bras de son amant. Le pauvre en avait les larmes aux yeux...
 
 
MOUAHAHA VAZY CACHE TOI !!! AI HONTE !
Tu le sais très bien que quand on me cherche, on me trouve !
 
Tags : reita, ruki, kai, aoi, uruha, yaoi, one shoot, DERANGEMENT.
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#Posté le dimanche 23 décembre 2012 09:05

Modifié le mercredi 03 août 2016 06:29

OS AijixMaya: Quand une bandes d'amis jouent aux cupidons mais se trompe de personnes...

OS AijixMaya: Quand une bandes d'amis jouent aux cupidons mais se trompe de personnes...


Auteur: Moi, votre Sushi préferer
Rating: M
Disclamer: Malheureusement LM.C ne m'appartient pas...


Voici une autre OS petite mais je trouve Kawai, elle est aussi inspirer de fait réels car oui la semaine dernière j'ai beaucoup parler avec un gars de ma classe on se tapait des barres et deux personnes dont je ne siterait pas les noms on voulu a tout prit de me caser avec... et donc une dizaine de personnes sur les 17 personnes de la classe dont mon potes et moi incluent voulait me caser avec, et le pire... c'était que mon potes voulait... mes potes me lâchait plus et moi j'était au bord de la crise de nerfs, en plus avec tout les sous entendu de fait, j'ai cru devenir cinglé et j'ai faillit éclater contre les murs mes deux potes qui avait manigancer tout ça.. bon néanmoins au bout de 5 6 jours ils ont arrêter de m'emmerder et heureusement.
bon je vais arrêter de vous raconter ma vie et je vous laisse lire l'OS kissu bonne lecture et commenter!
 


OS AijixMaya: Quand une bandes d'amis jouent aux cupidons mais se trompe de personnes...


Je m'appelle Maya.
J'ai 17 ans et je suis excentrique.
J'ai a mon compteur bon nombre de petit amies et toute mes histoire ont été fini.
La déprime? Jconnais pas moi! Je suis la joie incarner!
 
Je vie une petite vie de lycéen normale, mais en ce comment kami sama s'acharne sur moi, ou plutôt . mes camarades de classe.
 
Depuis que j'ai causer avec la nouvelle de la classe, Yui... une bonne partie de la classe s'entête de me mettre avec mais moi je veux pas et il commence a vraiment m'énerver  D'habitude je suis calme gentil et tout, mais je commence vraiment a perdre patience.
 
"Rooooh mais vous iriez vraiment bien ensemble, vous seriez vraiment trop mignon ensemble. Me dit mon meilleur ami, Miyavi."
 
Ils sont bien gentils tous a me porter de l'intention
Ils sont bien gentil de ne vouloir "que mon bonheur" comme ils le disent si bien mais moi JE VEUX PAS!
J'ai déjà assez vécu de déceptions amoureuse avec les filles... peut être que être avec un gars serais mieux...
enfin je sais pas...
 
Ils arrêtent pas d'insister et ça me trotte dans la tête et maintenant j'évite yui.
Je l'intéresse, mais moi c'est pas mon style et ils l'ont pas compris...
casse bonbon....
 
nous sommes la tranquillement dans la classe en train de parler quand...
 
"alors c'est quand tu l'embrasse ta chérie? Me demanda Ruki"
 
alors la il me cour sur le haricot. Bon quel sera ma victime...ah Aiji.
 
Je m'approche de lui et l'embrasse.
 
Une mine choqué et désorienté sur le visage, il me regarde sans rien comprendre. Héhé désolé....
 
tout les gens de la classe me regarde des mines choqué sur le visage.
 
"je suis plus attiré vers les gars désoler Yui. Dit je un sourire coquin sur le visage."
 
Un fou rire général s'enclenche, voilà comment mettre l'ambiance!
 
 
Depuis ce jour, Aiji rougit a chaque fois qu'il me voit et j'ai cette fâcheuse manie qu'a chaque fois que je vois un mec je le détaille, en détaillant chaque partie de son corps.
Serais je... Naaaan ça peux pas être possible, je n'ai jamais vraiment été attirer par les hommes moi...
 
Raaaah il me soûle tous en plus cette question me trotte en tête: suis je attiré par les hommes?
 
Raaaah je sais pas j'arrive pas a me trouver une réponse...
 
Aiji vient vers moi.
 
J'était la seul assis par terre dans le couloir a réfléchir sur cette question qui me trotte dans la tête depuis plusieurs jour.
 
Il me dit de le suivre et c'est ce que je fit.
 
Nous voila arrivé sur le toit de l'école. Il me regarde droit dans les yeux et apparait on ne peu plus sérieux.
 
" tu sais que t'es vraiment chiant comme mec, tu fait pas plus attention que ça a moi et puis un jour comme une fleure tu m'embrasse; déjà que tu m'énerve a tout le temps faire l'andouille comme ça tu reste dans mon esprit avec des blagues tordu sans queue ni tête mais maintenant a chaque fois que je vois un truc jaune ou rose je pense a toi...tu m'énerve. Je suis tomber  amoureux de toi.... wouah comme ça soulage."
 
Ces mots il me les avait débiter d'une traite, mon coeur battait le cent a l'heure et je rougissais de plus en plus.
 
Il releva la tête et plongeât son regard dans le mien.
 
"tu veux sortir avec moi?"
 
Euh je répond quoi moi la....
 
 
"bah j'était en train de me demander si j'était réellement attirer par les garçon car vois tu les filles sont chiante elle sont bonne a rien et puis elle ressemble a des pots de peintures elle me dégoûte.
Apres tu vois elle sont kawai gentille douce donc je sais pas si avec un mec ça peux faire pareille, et puis je sais pas si je suis hétéro bi ou gay. Bien que les parole que tu m'as dite me touche énormément et quand je t'a embrasser l'autre jour bah ça m'as clairement plus après j'était tout exciter j'ai kiffer grave et..."
 
je n'eu pas le temps de rajouter un mot de plus que pour me faire taire il avait emprisonner ses lèvres des mienne.
 
Je crois que ma réponse viendra avec le temps, mais ce qui est sure c'est que Aiji me plait, il me plait vraiment...
 
 
Tags : Maya, aoi, yaoi, amour, one shoot
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#Posté le dimanche 23 décembre 2012 09:37

Modifié le dimanche 23 décembre 2012 10:07

OS AoixRukixReita: Crime passionel

OS AoixRukixReita: Crime passionel

Auteur: Moi, votre Sushi préférer
Disclamer: The GazettE ne m'appartient pas, dommage, jvais negocier a la PSC pour une garde alterner!
Rating je sais pas... T... euh gore violence sang...
Alors me revloila pour la troisieme fois de la journée avec une nouvelle OS une Gore Death OS qui est une commande de http://xxfanaxaoixx.skyrock.com/ je sais pas si vous allez aimer... perso mon Os je la trouve bizarre enfin je sais pas... commentez!!!
 
 




                             OS AoixRukixReita: Crime passionel




Lui,
 
Je l'aime tant...
 
Mon grand ébène avec son piercing a la lèvre  Mon Aoi, je t'aime tant, pourquoi ne répond tu pas a mes messages... tu me manque
 
Ton sourire tes lèvres si goûteuse  ton visage si fin et tes si beau yeux... ta voix ton souffle sur ma peau me manque!
 
Ton corps si fin et pourtant musclé me fait rêver. A chaque fois que je pense a toi, je me sens comme dans un rêve, le plus magnifique des rêves, comme notre histoire.
 
je me rappellerais toujours de notre rencontre. Cela s'était passé il y a a cinq ans de ça et depuis nous ne nous sommes plus quitté.
 
IL y a 5 ans dans le métro je t'ai rencontré mon amour, et cela me restera graver en moi.
Graver comme le tout premier baiser que nous avons échanger  comme notre première nuit d'amour ou comme la première fois où l'on s'est dit "je t'aime".
 
Ces quelques mots résonne a mes oreilles comme la plus merveilleuse des mélodies qu'une guitare puissent faire.
 
 
 
Tu avais dit que ton boulot te demandais à l'étranger et que tu devait y aller. Tu est partit et je n'ai pas eu vraiment le temps de te dire au revoir.
 
 
Cela fait 4 jours sans nouvel de toi, 4 jours que tu me manque.
 
Je vérifie ma boite mail et je vois un nouveau message une pièce jointes y ait présente.
 
Je la regarde, c'est une vidéo.
 
Aoi, mon Aoi en sang les mains attaché dans le dos sur une chaise, complètement nu, des marque de fouets sur le torse. Il a l'air de souffrir, mon coeur me fait atrocement mal.
 
Je n'en croit pas mes yeux.. ce n'est pas possible. Les larmes coulent sans que je puissent les arrêter.
 
Tes cris de douleurs imprègnent mes oreille.
 
J'entend la voix d'un homme, une voix déformer, étrange, qui me donne le lieu de rendez vous.
 
Je m'inquiète.
 
Je ne réfléchi même pas, je prend une veste enfile mes chaussures et file au point de rendez vous.
 
Les jambes tremblante la boule au ventre, j'avance dans la nuit noire a la recherche de l'adresse donnée. Je m'attend au pire, en même temps avec ce que j'ai vu de ta torture... au mon amour j'ai peur pour toi, je m'en veux tellement pourquoi ,ne t'ais je pas retenu peur être en t'ayant donné un dernier biser ce cinglé ne t'aurais pas eu...
 
je regarde a deux fois le numéro sur le bâtiment... je suis bien au bon endroit.
 
Je pousse doucement la forte en fer qui grince. Cela me donne la chaire de poule. Une odeur de fer ou plutôt de sang est présente, elle est assez fort.
 
J'essaye d'éclairer les lieu avec mon portable pour vois ou je met mes pieds. Mon pied tape dans quelque chose. Je sursaute automatiquement en voyant ce que c'était ... un doigt... avec la bague que j'avais offert a mon amour pour nos un an...
 
les larmes dévalent mes joues et je récupère le membre de mon chère et tendre.
Je ne peux pas le croire, lui, pourquoi lui? Pourquoi mon Aoi?
 
Soudain des lumières s'allument et je suis automatiquement guidé vers un couloir a cause des cris et pleure que j'entend, je les reconnais ce sont ceux d'Aoi. Je me met a courir, j'ai beaucoup de difficulté respirer, mon souffle est coupé.
 
Une scène tel des pire film d'horreur apparaît devant mes yeux.
 
Mon Aoi nu fouetter brûler coupé entailler de partout recouvert de sang, tout ces doigts a ses pieds, se vidant de son sang. A examiner d'un peu plus près  il a un pique enfoncer dans son oeil droit. Ce qui faisait de lui un homme, a été couper tel un boucher avec un morceau de viande et reposais désormais a terre.
 
Mon Aoi me regarde des larmes de sang apparaisse au niveau de son seul oeil restant et il trouve encore la force de me sourire. Il est très faible.
 
Je m'empresse de courir jusqu'à lui et de détacher les liens qui le maintient a la chaise recouvert de sang comme le sol d'ailleur. La pièce n'est qu'un cauchemar  Du sang remplisse les mur qui ont été recouvert de photo de moi...
 
je ne comprend plus rien, mais ce que je sais c'est qu'il faut appeler la police et vite.
 
Je compose le numéro et appelle.
Un raclement de gorge se fait entendre et de la plein ombre sort un homme assez grand, une capuche sur la tête.
 
"Et bien tu a fait vite dit donc Ruki!"
 
cette voix je la reconnais. La dite personne enlève sa capuche.
Je ne m'était pas trompé, lui Reita, mon collègue de boulot un peu détraquer  même pas un peu, je dirais complètement.
 
"pfff sérieusement je ne trouve pas ce que tu lui trouve a ce mec... tu aurais dut accepter mes avance... au moins il ne lui serais rien arriver"
 
je fonça sur lui et avec rage, enchaîna coups de poing de pieds et de tête  Non non non tu n'allais pas en sortir comme ça. Je vit le revolver qu'il avait a la ceinture et m'empressa de le prendre et lui tirer une balle.
 
Le sang s'écoulais de son corps et ne bougea plus je me précipita auprès de mon être aimé au sol sa respiration se faisais de plus en plus lente.
 
Non mon amour ne me laisse pas, je ne peux pas continuer ma vie sans toi.
 
"Je t'emmènerais dans la tombe avec moi." voila ce que j'entendit de la bouche de l'autre blond que je croyais mort.
 
Je ressentit une vive douleur traverser mon corps. Un liquide rouge et chaud tomba sur le sol, mon sang, je porta la main a mon abdomen.
 
Non non non ça ne peux pas finir comme ça!
 
 *************************
 
 
"Tragique découverte fait par la police cette nuit au environs de deux heures du matin.
Les corps de trois hommes ont été retrouve dans un bâtiment désaffecté. L'un d'entre eux a été sauvagement mutiler. On pourrais qualifier cette acte inhumain  Les deux autres hommes été recouvert de bleu et ont été tuer par balle. D'après les médecins  l'agresseur Reita Suzuki aurait séquestrer Aoi Suguru car il était le compagnons de Ruki Matsumoto, son collègue qui convoitait. Le jeune Suguru est mort dans l'ambulance  ses blessures était assez conséquente...."
 
J'éteignit la télévision et me tourna vers Uruha quelque peu choqué..
 
"Qu'est ce qui il y a?
-Tu sais Kai.... le tueur... c'était mon meilleur ami tu sas celui qu'on avait interner il y dix ans pour cause de schizophrénie..."
 
Tags : death os, gore, reita, ruki, aooi, kai, uruha, amour, yaoi
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#Posté le dimanche 23 décembre 2012 09:55

Modifié le lundi 24 décembre 2012 13:13

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